“Blackwater II, La digue” – Michael McDowell

“Blackwater II, La digue” – Michael McDowell

Titre : Blackwater II, La digue
Auteur : Michael McDowell
Format : papier
Nombre de pages : 260
Editeur : Monsieur Toussaint Louverture
Dates de lecture : 15/06/2022 – 20/06/2022

4ème de couverture / Résumé éditeur :
Tandis que la ville se remet à peine d’une crue dévastatrice, le chantier d’une digue censée la protéger charrie son lot d’imprévus : main-d’oeuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes… Pendant ce temps dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d’Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer. Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. A Perdido, les mutations seront profondes et les conséquences, irréversibles.

Mon avis :
Le premier tome terminé, j’ai aussitôt enchainé avec le suivant.

Maintenant que les lieux et les personnages ont été mis en place, nous pouvons avancer dans l’histoire avec la construction de cette digue censée protéger la ville d’une éventuelle crue destructrice.

Un petit résumé en début de livre vous remettra en mémoire ce qui s’est déroulé précédemment. N’oubliez pas de consulter les arbres généalogiques et le plan de Perdido, vous pourrez y voir de légers changements.

De nouveaux personnages font leur apparition et ont une grande importance dans le récit puisqu’ils vont venir modifier le quotidien des habitants de Perdido et en particulier de la famille Caskey.

Elinor et Mary-Love continuent de s’affronter. Elinor doit également faire face au projet de construction de la digue qu’elle voit d’un mauvais oeil, elle qui aime tant “sa” rivière. Mary-Love dirige toujours le clan d’une main ferme mais on sent petit à petit qu’elle perd de son pouvoir et que son entourage commence à ne plus vouloir se laisser manipuler.

Des transactions (parfois immorales) se déroulent sous nos yeux afin que chacun puisse y trouver son compte.

L’auteur distille dans ce tome des petites touches d’humour (j’ai adoré la scène du poulet) et de fantastique voire d’un début de paranormal (pas trop poussé mais qui pourrait donner quelques frissons aux lecteurs les plus sensibles).

Ce deuxième tome s’achève sur un événement qui ne peut que vous pousser à continuer la saga.

Une fois de plus, la couverture est magistrale et en lien total avec tout ce dont il est question dans le livre.

La petite phrase qui achève le premier paragraphe de la dernière page où l’éditeur nous en dit plus sur la conception de la couverture est un petit clin d’oeil à tout ce que nous venons de lire, je trouve cela très bien pensé.

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